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La paix, le propos du président Juan Manuel Santos
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Santos siempre estuvo interesado por los temas relacionados con la paz, lo que lo llevó a analizar los distintos procesos que se han hecho en otros países.

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Carlos Ortega / ELTIEMPO

La paix, le propos du président Juan Manuel Santos

Le Comité a dit que le mandataire "a systématiquement essayé de faire avancer le processus de paix".

De Juan Manuel Santos on a toujours dit que toute sa vie il a été préparé pour être le Président de la Colombie, et - à en juger par les faits - il l'a aussi fait pour mettre un point final à plus de cinq décennies de guerre avec les Farc.

Depuis sa prise de fonction dans la place de Bolivar, le 7 août 2010, il a précisé que la clé de la paix n'était pas au fond de la mer et a disposé, secrètement, que des rapprochements avec les Farc ont été organisées pour explorer la possibilité d’un dialogue.

Et à Carthagène, avec les yeux de toute la communauté internationale mis à la Colombie, il a fermé ce qui est maintenant considéré comme un premier cycle, après avoir mis une signature historique d'un accord de paix le 26 septembre 2016.

Cependant, le processus est entré dans une phase d'attente avec l'échec du plébiscite par la paix réalisé le 2 octobre et dans lequel il a gagné l’option de «non».

Après 40 jours de renégociation avec les différents secteurs de la politique et de la société civile, Colombie voir à nouveau l'espoir: un nouvel accord de paix a été signé le 24 Novembre 2016 au teatro Colón de Bogotá.

Tout de suite, l'accord a déjà été approuvé par le Congrès et son implémentation commence à être réalisée. Cependant, il manque la décision de la Cour Constitutionnelle sur la manière et les temps pour approuver les normes qui lui donneront une vie à l'accord de paix. Ça manière pourrait être à travers d'une procédure ordinaire dans le Congrès ou une route rapide connue comme ‘fast track’.

Depuis Santos a été journaliste du journal EL TIEMPO -dont même il s'est converti en son chef adjoint- a toujours été intéressé par les sujets liées à la paix, ce qui l'a amené à analyser les différents processus qui ont été faites dans d'autres pays, spécialement le relatif à l'Afrique du Sud et le rôle joué par la figure emblématique de Nelson Mandela.

Le même Juan Manuel Santos a affirmé que sa position sur la sortie négociée du conflit armé a été marquée par un sommet auquel a participé Adam Kahane, un expert dans la résolution des conflits qui a contribué activement dans le processus de paix en Afrique du Sud.. Cette réunion a été faite à la demande de la Fondation Buen Gobierno en 1996.

Un an plus tard, et après ce événement, une autre rencontre de dirigeants nationaux a été réalisée à Antioquia pour penser à l'avenir de la Colombie. De là il est né 'Destino Colombia’, un document dans lequel se montrent quelques scènes pour pouvoir finir avec le conflit armé. L'un d'eux parle du renforcement des Force de Securité pour réduire au maximum aux guérillas, comme les Farc et l’Eln, pour que tout de suite ils se voient obligé de négocier leurs désarmement.

Ce fut précisément ce que Santos a fait et il voit maintenant les résultats de son travail avec la signature définitive de la paix avec les Farc. En 1998, lors de sa première aspiration officielle à la Présidence, avec le soutien du Parti libéral, son but politique a été d'atteindre la paix à travers du dialogue.

La signature de la paix a eu d'autres protagonistes qui Santos a lui-même reconnu tout ce temps. Par exemple, dans la zone démilitarisée de San Vicente del Caguán, le dernier échec du processus de paix avec les Farc, le président Andrés Pastrana (1998-2002) a jeté les bases pour le renforcement militaire du projet connu comme Plan Colombia, un programme de coopération financé par les États-Unis.

Les résultats de ce processus ont été vus au cours de l'administration de Álvaro Uribe (2002-2010), qui avait comme son ministre de la Défense a Juan Manuel Santos et qui a dirigé les Farc à une réduction historique
dans sa capacité offensive et criminelle.

Conscient de ce moment historique, qui a été le résultat de l'effort de l'État pour récupérer les institutions, Santos a ouvert la porte au dialogue pour mettre fin au conflit et pour commencer à reconnaître les victimes du même pour transformer vraiment au pays.

À l'âge de 65 ans, Santos a réussi un but qui a été pratiquement tracé depuis qu'il s'est initié à la vie publique, d'un fonctionnaire et de journaliste. Il était le premier ministre du Commerce du pays, mais aussi il a été ministre de la défense durant le gouvernement de Uribe, une position qui lui a permis propinar coups contondants aux Farc.

Es claro que hubo factores que se juntaron para que el conflicto con las Farc llegara a su fin, tanto políticos como militares, pero es innegable que el trabajo de Santos a lo largo de estos años –y el que resta para consolidar el posconflicto– resultó fundamental para que el rompecabezas de la paz por fin tomara forma.

Il est clair qu'il y a eu des facteurs qui se sont joints pour que le conflit avec les Farc arrivât à sa fin, à la fois politiques et militaires, mais est indéniable que le travail de Santos le long de ces années - et celui qui reste pour consolider le posconflicto- - il a semblé fondamental pour que le casse-tête de la paix enfin prende une forme.

Él ha dicho que después de salir de la Casa de Nariño se quiere dedicar a la docencia y que –lo ha expresado con algo de ironía– no quiere molestar a su sucesor. Sin duda, en la academia pondrá como ejemplo el logro que le valió pasar a la historia como el Presidente que –tras más de medio siglo– acabó con las Farc.

Santos a dit que après avoir quitté de la Casa de Nariño (le palais présidentiel), il veut consacrer à l'enseignement et que - il l'a exprimé avec un ton ironique - il ne veut pas gêner son successeur.

Sans aucun doute, à l'académie il mettra comme exemple la réussite qui lui a valu de passer à l'histoire comme le Président qui -après plus d'un demi-siècle - a fini avec les Farc.

Tel qui le lui a notifié l'Assemblée Générale de l'ONU à la fin d'un septembre. Le message était direct : "La guerre en Colombie a fini".

EL TIEMPO

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